Journal (part2) Renaissance

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_Yeat_
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Je me suis encore réveillé en sueur, toujours le même cauchemar, du sang, la douleur, la haine...

... Mes rêves se font d'une rare violence, j'y voit un homme recouvert de sang écumant de rage, aux blessures au torse, et dont le bras gauche semble avoir été déchiqueté complètement ayant pour seul vestige des lambeaux de chair et d'os...

La brume se dissipe, peu à peu, je recouvre mes sens... Toujours cette chambre...

Qu'est il arrivé, ai-je au moins pu secourir les miens... Que m'est-il arrivé...

Jour : Inconnu
Lieu : Inconnu

Emmerger était plus dur qu'il n'y paraissait, je ne sentais qu'une brume mentale aucunement douloureuses d'ailleurs, ni aucun de mes membres... Tous mes membres... Je tentai de tourner nerveusement ma tête vers la gauche...
Une pression inhabituel se fit sentir à la base de mon cou, sur les tempes, et au niveau des épaules. Se fût identique au niveau des jambes....


On m'avait entravé, mais malgré que je ne puisse sentir ses entraves, la pression quelles exerçaient me rassura quelque peu, je pouvais bouger, certes j'étais attaché, mais en aucun cas paralisé, j'ai beau eue faire appel à ma mémoire, je ne comprend pas se qui m'arrive...J'avais beau me contenir pour garder mon calme je ne tiens plus :

« Y a-t-il quelqu'un? », mon hurlement se fit dans la voix hésitante de ceux qui ne l'on ni utilisé, ni entendu depuis longtemps, de l'aigu au grave, je me raclai le fond de la gorge qui de souvenir n'avait jamais été aussi sèche et je repris.

« Je vous en prie est ce que quelqu'un pourrait venir!!! »

Je me ragaillardi, que diable allé, du courage bon sang, je ne dois pas me laissé envahir par la peur... C'est de la vie de mon peuple, que jusqu'à mon dernier souffle je me battrais. Je forais avec d'autant plus de rage sur mes liens je les entendaient craquer, ... Lorsque j'entendis une poignée s'abaisser, une légère compression de l'air que je sentis sur mes tempes me signala qu'une porte s'ouvrit vers l'intérieur dans cette pièce.

« Calmez vous, tout va bien maintenant. », c'était une voix féminine, d'un calme et d'une splendeur angélique, mais je trouvais quelque peu déplacé ça remarque, et son ton dans ce contexte.
« Je me nomme Kaena, je suis ici pour vous aider, si je ne me trompe pas votre nom est Samaël? »;

_ « Oui, mais honnêtement on verra pour nos présentation plus tard, laissez moi récupérer mon vaisseau et partir, mon peuple a besoin de moi, libérez moi. », j'avais des milliards de questions qui fusaient, mais le style "discussions de salon de thé" attendra...

_ « Sauf votre respect, mais votre vaisseau est en piteuse état Samaël, il serait incapable d'allumer le moindre indicateurs, on s'est même demandé comment vous avez pu survivre, et surtout vu votre état a ce moment si.... »

Je la coupai sans l'once d'un remord, « Avez-vous trouvé avec moi un cylindre de pressurisation? Et auriez vous l'extrême obligeance de me prêter a cours terme un de vos vaisseau je vous le rendrai dans les meilleurs délais! »

« Mais vous ne sortirez pas d'ici sans une observation plus approfondi sur votre récupération, rappelez vous se qui vous est arrivé, votre vaisseau est a plus de la moitié détruit, même votre poste de commande était coupé en deux... ».

Une fois n'est pas coutume, je ne la laissa pas finir son fabuleux récit de miraculé, qui sommes toutes, devait être intéressant a écouter au coin du feu si j'étais encore enfant...Le pathétisme de la situation me fit tout de même sourire, mais je ne pu réprimer ma profonde crainte.

« C'est un fabuleux récit que je vous laisserai me raconter plus tard, je vous remercie qui que vous soyez de m'avoir sauvé mais les jours de mon peuple sont compté, et je crains que mon accident n'a causé leur trépas. Alors je vous le redemande avec toutes l'amabilité qu'un homme dans ma posture peu encore faire effort, laissé moi partir », ces trois dernier mots fussent-ils légitime se perdait dans la crispation de ma mâchoire.
Je sentais gonflé les muscles de mes bras et de mes jambes, les fixations gémir de l'effort que je leurs fis subir...

« Il Suffit! Calmez vous ou c'est par la seringue que je le ferais, votre peuple est sauf, nous avons grâce au reste de votre ordinateur de bord, contacter deux de vos amis Angepoussinette, et Illyanda tout deux se sont chargé d'inoculer le gaz dans l'atmosphère après l'avoir synthétisé en masse. Ils nous ont permis de finir vos soins d'une part parce que notre technologie nous le permets et d'autre part car votre état était si critique que le transport vous aurait a coup sûr tué. Êtes-vous maintenant rassuré, pouvons nous discuter? »

Je fus soulagé, « Je suis désolé veuillez accepter tout de même mes excuses, la peur a conduit mes mots, je vous remercie d'avoir tout mit en oeuvre afin de sauvé mon peuple ma dette en vers vous sera éternelle...Je ne suis pas une menace pour vous, pourriez-vous m'enlever de tout ça que je puisse contempler mes sauveurs? »

_ « Vous avez été mis sous stabilisateur, pour non pas nous protéger mais pour évité que vos mouvements, ou que des mouvements parasites liés a des souvenir neuro-musculaire, viennent a endommagé votre métabolisme en reconstruction. Samaël vous avez été attaqué, près de notre orbite, votre ordinateur de bord nous a informé que 5 vaisseaux de petite tailles, type chasseur interstellaire, souvent utilisé dans le milieu des brigands pour leur vitesse et leur furtivitée. Durant l'attaque vous avez pu détruire ou endommagé gravement deux d'entre eux, mais leur lanceur à plasma, a finalement eu raison de vos boucliers de protections.

Celui du vaisseau a laissé passer une 10ène d'impulsion et c'est en grande partie grâce à la chance et à votre bouclier personnel que vous avez survécu, vous teniez contre vous le réceptacle au vaccin, nous n'avons trouvé aucune trace de votre bouclier personnel celui-ci a du, soit être détruit par la puissance accumulé, soit...soit... disparaître avec une partie de vos membre dans l'espace. »

_ « Ce n'était donc pas un cauchemar, mais comment ... je sens bien que je bénéficie de mon corps en entier...Comment? »

_ « Nous vous avons greffé des membres de cultures modifiés pour votre organisme, nous avons du faire appel à une haute dose de neuro-inhibiteur des nerfs sensitif pour que la douleur ne vous achève pas d'où cette insensibilité, vous aurez aussi durant quelques temps des soucis de coordination de vos membre, mais ça ne sera que passagé rassuré vous. Nous reprendrons cette conversation Sir Samaël, je vais vous laissez vous reposer il est nécessaire à ce stade que votre esprit et votre corps acquiesce le coup. »

_ « Attendez, avant de me faire cette piqûre quel jour sommes nous? »

30 Gerize _ 27ème jour

Je m'endors non sans mal, la dose massive d'hypnotique injecté par seringue, on commencé par me relaxé, puis vient la sensation de flotter, la vision se décale légèrement. Les ressentis sont dur à qualifier de mots, mais le vertige pourrait être la sensation la plus proche de cette dernière mais sans l'impression négative de glisser, vers la chute, la mort....

La mort, je rêve, et même en ces lieux elle me poursuit, je rêve de Messia, mes pensées si attardent, je m'y accroche frénétiquement, puis mes souvenirs s'emballent vint son exécution. Je sens l'odeur du bûcher, j'entends encore les rires obsédant des consuls de mon père, apprenant la nouvelle, j'écoute leur gargouillis jouissif après une évicération. Ma conscience onirique traverse le temps et l'espace, de bar en bidon ville, jusqu'à cette ruelle, ou je braque Helinger de son arme a énergie, ou devrais-je dire que je me vois le faire, je m'y attarde, j'aurais dû l'abattre là, dans cette ruelle sordide au milieu des rats comme seul témoin.
Je rentre dans mon vaisseau, enlève ma pèlerine taché, retire mon Nodaji, armure, bracelet, j'étais enfin sur le chemin du retour....

Mon navigateur tactique rugit, la lumière rouge des instrument remplissent le cockpit, 10 missiles Plasma à haute énergie synéptique filaient sur moi, j'active le pilotage manuel, lance des leurres, je me sens impuissant (et sûrement encore plus dans ce rêves), je prends les commandes des canons rotatif de mon chasseur grâce au casque Tactique, j'étais exercé à cet exercice, le contrôle de sa volonté active les tirs, et les mouvements du vaisseau, 3 salves abbattent 2 vaisseaux.
Je fais une embardée sur la droite, 1 missile explosa à quelques mètre de ma coque, un deuxième me fauche l'aile gauche détruisant par la même mon bouclier de protection. Les voyants rouge clignotaient d'une vitesse me rappelant mes propre battement de coeur, je sais que ma vie dépends de celle de mon vaisseau...

Je voyais la moindre des expressions de mon visage ampli de peur, de haine, d'incompréhension, je me vois prendre sous le bras droit le vaccin, le serrant pathétiquement telle une bouée,une deuxième explosion, je ne l'ai pas prévue, la première a dû endommager les senseurs, l'explosion est terrifiante encore plus pour le spectateur que je suis, je me sentais perdu mais se n'est pas un sentiment d'abbattement que je lis sur mon visage mais de haine, le vaisseau fût littéralement coupé en deux, dans l'explosion verte du plasma je perçois une lumière blanche aveuglante. Mon chasseur fut éjecté dans l'espace noir et indolent par le souffle d'un troisième impact s'ajoutant au dôme vert et blanc.

J'entends mais je ne vois plus,c'est des hurlement, perturbant le calme aseptisé de l'espace, mon agonie... Puis le calme. Je vois le vide interstellaire, je me revois monter dans mon vaisseau, la ruelle, Helinger, le bidonville, les différent lieu que j'ai visité durant ma quête, je revois le bûcher, les consuls, Messia..........

Je me réveilles, respirant avec peine, j'éclate d'un rire sonore, un rire mêlé de sanglots, un rire de dément.
On ma toujours dit que lorsque que la mort est proche, ou imminente, on voit toute sa vie défiler devant soit, je ris car ma vie alors n'est que de 2 mois.

1 Lyrise _ 28ème jour

Le reste de la nuit fût longue, je penses que cela m'étais nécessaire, le choc d'une quasi mort, d'une semaine de quête et d''une autre de coma, et tout cela si peu de temps après la renaissance d'Hypérion, ma première mort.
Durant la nuit c'est a tout ça que mon esprit avait pensé, une conviction froide c'est imposé a moi,

SEDIBUS UT SALTEM IM PACEM RESCIQUAT

Seul dans le trépas je trouverais le repos, mon existence est lié a jamais au combat à la lutte.... Je m'en étais fais la promesse, aujourd'hui j'en mesure les conséquences....

SIC VIS PACEM PARA BELLUM,
je repense à ces mots que l'on m'avait inculqué durant mon enfance, par les même personne que je tua de mes mains une dizaine d'année plus tard. J'y repenses non pas comme une déclaration de guerre, lorsque je l'avais scandé il y a 28 jour aujourd'hui, non, mais comme une déclaration d'intention. C'est seulement aujourd'hui, allongé sur se lit d'hôpital, sur une planète inconnu que je prend réellement conscience que ma route sera jonché de douleur, dans cette pensée machinalement je tente de regarder mon côté de gauche qui d'après mon infirmière fût complètement reconstitué, mais les entraves fixé solidement m'en empêche encore. J'ai bonne espoir de les délaisser a se jour. Mon esprit vagabonde encore, peu a peu je commence a sentir les picotement de mes membres engourdi par ces jours d'inactivité, les neuros-inhibiteur doivent eu aussi se lassé des mes nerfs sensitif et s'en aller.

C'est avec impatience que j'entendis la porte de ma chambre s'ouvrir, la confiance que je m'étais dans mon odorat me laissait échapper avec une voix enjôlé :

« Comment va mon infirmière préféré? Cher Kaena »

Je ne sais si vous avez remarqué, la fâcheuse tendance qu'a l'être Humain a se recroqueviller dans une bulle d'aspects variés lorsque quelque chose le trouble, le blesse etc...

Une bulle de colère pour certain,
Pour d'autre de mutisme,
De fuite,
Ou encore d'orgueil de coq...

Je fus élevé aux coups de « battons », aucune larmes n'est censés couler, aucune peurs ne devaient transparaître, je dois en tout moment garder mes pensées exempt de tous parasites, rester lucide, même si la colère, les soucis et les peur gardent ma raison.

Mais aujourd'hui, il n'en est rien, je pleurs, devant celle qui m'a promulgué des soins durant mon agonie.

Je pleurs parce que ma quête a été accompli, mon peuple est sauf, je pleurs pour mes morts, ceux que j'ai aimé, ceux a qui je l'ai donné.

Je pleurs parce que la femme devant moi, me regarde avec bonté, respect, sans jugement...
Sa beauté d'âme, de coeur et de physique, font ressortir mes laideurs... Je me sens défiguré, une âme noircie et un coeur mort....

Je fais quelques pas sur le sol de carrelage chauffé, la cohésion de mes membres, entamés par leur longue inactivité, leur destruction et leurs prompts greffes.

La peau de tout côté gauche de mon corps empoté était du rose du nouveau né, et son brillant sous la lumière diffuse était celui d’un brûlé.
La couche du derme reconstitué par les greffes n’avaient comme différences que ces couleurs, aucune cicatrice, aucun enflement.
Il était difficile de me mouvoir correctement, ou de bouger le bras.

_ « Je te remercie Kaena, de tous tes efforts, de tes soins et de ta patience ! »

_ « Comme je te l’ai déjà dit il te faudra du temps, et de l’exercices pour recupérer tous tes moyens. »

_ « J’ai l’impression que ma jambe et mon bras pèsent des tonnes ! Mais bon on fera aller. Aurais-tu un miroir (cette perte de vouvoiement, est généralement caractérisé par des demandes personnel dur a annoncé autrement que par la proximité du tu),…, oui un miroir pour que je puisse me re….. » Le reste de la phrase se perdis avec la douleur du stress grandement ressenti dans mes intestins.

_ « Ton corps a été a 30% détruit durant l’explosion, (son usage du tu montrait que ça réponse nécessitait la même proximité). Nous avons dû faire appel a des technologie innovatrice et non testé au préalable, ne te vois pas comme un cobaye, car notre structure chromatique ne pourrait pas s’appliquer au résultat qu’on a réalisé sur toi. Par contre et malgré ta visible guérison, il faudra que tu revienne fréquemment pour d’autre test. Je vais te chercher le miroir. ».
Le choc ne fut pas si terrible que ça, je n’étais en rien défiguré, en rien scarifié, mais il est vrai qu’après ces 2 minutes d’observation intensive devant le miroir, je m’en pourpra a l’idée que je n’avais pas pris le temps de prévenir mon infirmière de se retourné….

Elle avait un rire splendide, se qui ne m’aida pas a me sentir plus a l’aise, je remis mes vêtement,
« Tu me fais faire le tour du propriétaire » d’un sourire jaune de malaise et tentant maladroitement de changer de sujet.


« Allé viens, mais ferme tout de même ça.. », sans même attendre ma réaction c’est elle qui ferma ma chemise, « Tu peux fermer ton pantalon seul ? », son rire est mélodieux je pourrais tout faire pour le provoqué, rien qu pour l’entendre, mais je préférai ne plus la faire rire sur ma pudeur.